Elle vint chez moi en plein hiver
Elle n'avait pas froid, n'en avait pas l'air
Je l'accueillis a bras ouverts
Je ne savais pas qu'elle entrait jusque la
Fleur de ma ville, du sang sur tes epines
Tu prends ce que j'ai Tu ne me dis pas ou je vais
Fleur de ma ville, du sang sur tes epines
Tu prends ce que j'aime et puis chez toi tu m'emmenes
Non, pas de veine pour celui qui l'aime
Le dernier train, toujours le meme
Pour ce pays en noir et blanc
Ou on ne se fait plus de mauvais sang
Fleur de ma ville, du sang sur tes epines
Tu prends ce que j'ai Tu ne me dis pas ou je vais
Tu prends ce que j'aime et puis chez toi tu m'emmenes
Tu prends ce que j'aime et puis chez toi tu m'emmenes
Elle vint chez moi en plein hiver
Elle n'avait pas froid, n'en avait pas l'air
Je l'accueillis a bras ouverts
Je ne savais pas qu'elle entrait jusque la
Fleur de ma ville, du sang sur tes epines
Tu prends ce que j'ai Tu ne me dis pas ou je vais
Fleur de ma ville, du sang sur tes epines
Tu prends ce que j'aime et puis chez toi tu m'emmenes
Non, pas de veine pour celui qui l'aime
Le dernier train, toujours le meme
Pour ce pays en noir et blanc
Ou on ne se fait plus de mauvais sang
Fleur de ma ville, du sang sur tes epines
Tu prends ce que j'ai Tu ne me dis pas ou je vais
Tu prends ce que j'aime et puis chez toi tu m'emmenes
Tu prends ce que j'aime et puis chez toi tu m'emmenes